Il y à quelques jours quelqu’un m’a demandé ce qui m’avait le plus surpris ou choqué en France. Il y en a beaucoup de choses, bien sur, mais aujourd’hui j’aborderai seulement la question de ce sandwich surprenant et simple en extrême.
En un principio -y según fuentes obscuras sin embargo probables- era una comida privilegiada por campesinos y obreros que entró en las costumbres a mediados del siglo XIX. Fácil de transportar sin necesidad de ser calentado, este sandwich aporta proteínas y azúcares lentos y ayuda a aguantar la jornada. Como información, es tan apreciado en Francia que no ha perdido terreno frente a las hamburguesas.
Hay que decir que la primera vez que tuve que consumirlo –en París, justamente- fué más bien con desconfianza. Veamos, media baguette bien embarrada de mantequilla con una rebanada de jamón en medio no podía para nada ser muy light que digamos, y aún cuando podamos encontrarlo frecuentemente también con unas rodajas de jitomate y una hoja de lechuga –a veces no tan fresca- en ningún caso será algo que pueda combatir esa bomba de calorías.
Il faut dire que la première fois que j’ai eu à le consommer –à Paris, justement- j’étais plutôt méfiante. Voyons, une demi baguette bien tartinée de beurre avec une tranche de jambon au milieu ne pouvait guère être très light, même si on en trouve souvent avec quelques rondelles de tomate et une feuille de salade -des fois pas très fraîche- mais en aucun cas rien qui puise contrer cette bombe calorique
No que alguna vez haya sido fan de las dietas o lo que sea, más bien todo lo contrario, pero aún así seguía teniendo ciertos principios concernientes a las materias grasas –no muchos, tampoco hay que exagerar- y en México, la mantequilla no podía ser más ocasional, así que mi primera impresión fué tipo: “Hola, calorías!” con un aire espantado.
Pas que je n’aie jamais été fan des régimes ou quoique ce soit, bien au contraire, mais cela n’empêche que j’avais certains principes concernant les matières grasses –pas trop non plus, il ne faut pas exagérer- et au Mexique, le beurre était on ne peu pas plus occasionnel, alors, ma première impression fut du genre : « Bonjour les calories ! » d’un air effrayé.
Sin embargo, habiendome atrevido a hacer el tour de París en unos cuantos días –muy cargados, no se los recomiendo-, puedo decirles que, en efecto, te hace aguantar y no desplomarte a media tarde en los peldaños de Montmartre después de haber recorrido un buen centenar de kilómetros entre pasillos de museos, del metro, hacer el tour de la colina –con sus espantosas escaleras dignas de una escena del “Exorcista”, esa en la que el padre termina por caer- y recorrer la basilica del Sacré Cœur, jet lag incluso.
Pourtant, ayant osé faire le tour
de Paris en quelques jours –bien chargés, je vous le déconseille-, je peux vous dire qu’en effet, ça
fait tenir et ne pas s’écrouler en fin d'après midi sur les marches de Montmartre
après avoir parcouru une bonne centaine de kilomètres entre couloirs de musées,
du métro, faire le tour de la butte -avec ces épouvantables escaliers dignes d’une
scène de « L’exorciste », celle ou le prêtre finit par chuter- et parcourir la basilique du Sacré Cœur , décalage horaire inclus.
Desde entonces, lo adooooro!!! Sobre todo en su versión mixta en donde hay - además!- rebanadas de queso, para desgracia de mis caderas y la maldición de mi genética mexicana ^^' Pero no importa, viva el parisien de mantequilla y jamón!
Desde entonces, lo adooooro!!! Sobre todo en su versión mixta en donde hay - además!- rebanadas de queso, para desgracia de mis caderas y la maldición de mi genética mexicana ^^' Pero no importa, viva el parisien de mantequilla y jamón!
Depuis, je l’adooooore !!! Surtout dans sa version mixte où l’on trouve -en plus!- des tranches de fromage, au grand dam de mes hanches et la malédiction de ma génétique mexicaine ^^’ Mais peu importe, vive le parisien jambon beurre!
Sans rire, c'est quand même le top de la gastronomie Française !
RépondreSupprimerIndispensable : une bonne demi-baguette bien croustillante, si possible encore tiède.
On retire l'excédent de mie, on beurre à volonté avec du beurre pas trop froid et on utilise un chouette jambon sans couenne, et pas du "sous-vide".
Cerise sur le gâteau : un cornichon bien craquant, coupé en lamelles rangées bout à bout dans la longueur.
Mettre du fromage, c'est plus qu'inutile, c'est un sacrilège.
Personnellement, j'ajoute quelques tours de moulin à poivre sur le jambon.
Un verre de Côte du Rhône et hop, on retourne au boulot !
;-))
Ce sandwich est une pure merveille, même dans sa version profane mais je n'ai que le status d'amateur de la gastronomie française ;)
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