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dimanche 17 mars 2013

La météo o el reporte del tiempo

Siguiendo con las cosas que más me han sorprendido en este país, hoy les hablaré de la  météo, entiéndase: el reporte del tiempo que inevitablemente nos recordará que, en pocas palabras el tiempo es practicamente imprevisible y caprichoso y por ello, en la tele –dentro del noticiero o no-, mañana tarde y noche, en cualquier publicación periódica, pantalla de información y/o aplicación de smartphone -más lo que haya olvidado mencionar-  se exponen con sumo detalle –y casi siempre para deprimirse- las previsiones no sólo del día sino de cada etapa de la jornada.

Météo France
 Pour continuer avec les choses qui m’ont le plus étonnée en France, aujourd’hui je vous parlerai à propos de la météo qu’en quelques mots, inévitablement nous rappellera que le temps est pratiquement imprévisible et capricieux et c’est pour ça qu’à la télé –dans le journal télévisé ou pas- matin et soir, dans n’importe quelle publication périodique, écran d’information et/ou application de smart phone –et autre que j’aurais pu oublier- son exposées avec beaucoup de détail les prévisions météorologiques non pas seulement du jour, mais de chaque étape de la journée –le plus souvent pour nous donner le cafard. 

Porque en México solía bastar informarse de la llegada de un huracán o frente frío ocasional y según la estación y  lo cierto es que en general no hay grandes cambios a lo largo, ya no digamos del día, sino de toda la semana. Las temperaturas tampoco iban de un extremo a otro como quien juega con un yo-yo, en todo caso jamás como en Francia. El que lloviera o no durante el verano, por ejemplo, no implicaba prever más que un paraguas que a veces ni siquiera ibamos a utilizar ya que la lluvia podía pasar pronto dejando un cielo despejado – e inundaciones por el lado de Plaza del Sol*, entre otros. Una mirada por la ventana antes de salir, acaso un sueter ligero por si refresca y listo.

Parce qu’au Mexique il suffisait juste de se renseigner de l’arrivée d’un ouragan ou d’un front froid occasionnels et selon la saison, mais en général il n’y a pas de grands changements tout au long, n’en parlons pas du jour, mais de toute la semaine. Les températures non plus n’allaient pas d’un extrême à l’autre comme si on jouait au yo-yo, en tout cas pas comme en France. Qu’il se mette à pleuvoir pendant l’été, par exemple, impliquait simplement de prendre un parapluie que parfois nous n’utiliserions même pas puisque la pluie pouvait passer assez vite en laissant derrière elle un ciel complètement dégagé –ainsi que quelques inondations du côté de Plaza del Sol*, entre autres. Jeter un coup d’œil par la fenêtre avant partir, peut être un gilet au cas où ça rafraîchisse et voilà qu’on est prêts.       

Pero en Francia es otra cosa, el tiempo es tan, pero tan, taaaan variable e imprevisible que terminamos por obsesionarnos con esos reportes del clima... claro, una vez que aprendimos la lección de no salir nunca sin haberlos consultado, por nuestro propio bien.

Mais en France ce n’est pas du tout pareil, le temps et tellement, mais tellement variable et imprévisible que nous finissons par être obsédés avec les prévisions du temps… bien entendu, une fois qu’on à bien retenu la leçon de ne sortir jamais sans les avoir d'abord consultées, dans notre propre intérêt.

Cómo es el tiempo en Francia? Independientemente de la estación y salvo las raras ocasiones –generalmente en el verano- en que el “buen tiempo” permanece estable durante algunos días -y con algo de mucha suerte hasta semanas!- y dejando de lado el invierno donde lo más que se puede esperar es que: no llueva/neve o los dos, la mañana no necesariamente será lo mismo que la tarde, la noche o el día siguiente. Por increíble que parezca, así es y si ayer estuvo templado y soleado hoy bien puede estar nevando.

 Il est comment le temps en France? Peu importe la saison et, sauf les quelques rares occasions –en général pendant l’été- où le « bon temps » reste stable pendant plusieurs jours-  voir quelques semaines avec un peu beaucoup de chance!- et laissant de côté l’hiver où nous pouvons espérer: au mieux qu’il ne pleuve pas/qu’il n’y ait pas de neige ou les deux, le matin ne sera pas forcément la même chose que l’après midi, le soir ou le lendemain. Aussi incroyable que cela puise paraître, c’est comme ça et si encore hier avait fait un temps tempéré et ensoleillé, aujourd’hui il peut aussi bien neiger.  

No hay mejor ejemplo que el de la semana pasada, cuando el tiempo parecía que por fin iba a mejorar, que la primavera ya estaba cerca y casi, casi podíamos pensar en comenzar a guardar en algún obscuro rincón del armario esos gruesos abrigos, chamarras y demás indispensables de invierno para no morir de hipotermia en cualquier salidita... Y entonces vuelve a nevar con todo el caos que eso implica y la gran pista de patinaje en que se convirtió París. Carreteras bloqueadas y autos enterrados bajo la nieve en el norte, el fin del mundo nevado, pues... luego de nuevo el sol y ahora estamos bajo la lluvia... Todo en una semana.

Paris Match
Il n’y a pas mieux comme exemple que celui de la semaine dernière, quand le temps avait l’air d’en fin s’améliorer, que le printemps semblait si près et que nous allions presque,  presque pouvoir envisager de ranger dans un obscur placard ces lourds manteaux et autres indispensables de l’hiver pour ne pas crever d’hypothermie à la moindre petite sortie… Et alors il se remette à neiger avec tout le chaos que cela implique et Paris transformé en grande patinoire. Autoroutes  bloquées et voitures ensevelies sous la neige dans le nord, la fin du monde enneigé quoi… puis, encore le soleil et maintenant nous nous retrouvons sous la pluie… Le tout rien que dans une semaine.

Todavía hay que esperar a que llegue el supuesto “buen tiempo”. Digo supuesto, primero, porque el reporte del tiempo no es para nada infalible y segundo, porque en Francia el término “buen tiempo” significa simplemente que no lloverá/nevará y que el algún momento del día –con suerte- veremos uno que otro rayo de sol. Eso es algo que me ha costado y sigue costando asimilar porque para mí, “buen tiempo” implica un cielo despejado y temperaturas razonables, pero “Toto, ya no estamos en Kansas” o mejor dicho: “Jessica, ya no estás en Guadalajara”...
Il faudra attendre encore l’arrivée du supposé “bon temps”. Je dis supposé car, d’abord les prévisions météorologiques ne sont pas infaillibles et puis, parce qu’en France le terme « il fait beau »  veut dire simplement qu’il ne pleuvra/neigera pas et que dans un moment de la journée –avec un peu de chance- nous apercevrons quelques rayons de soleil. Voilà quelque chose que j’ai encore beaucoup du mal a assimiler parce que pour moi,  un « bon temps » où il « fait beau » implique un ciel dégagé et des températures raisonnables, mais «Toto, nous ne sommes plus au Kansas » ou plutôt : « Jessica, tu n’es plus à Guadalajara»…

Si, habrá que esperar para guardar los abrigos y mientras, seguiré soñando con la primavera y los cerezos en flor...

Oui, il faudra patienter encore avant de ranger les manteaux et en attendant, je continuerai à rêver du printemps et des cerisiers fleuris… 






* Centro comercial en Guadalajara donde hay inundaciones cada vez que cae una tormenta.

* Centre commercial à Guadalajara où il y a souvent des inondations à cause des orages.

lundi 25 février 2013

Inviernos largos y días cortos... / Hivers longs et jours courts

Hoy empezaré una nueva serie: La lista de las cosas a las que tal vez nunca me acostumbraré en Francia.*

Aujourd'hui je commencerai une nouvelle série: La liste des choses aux quelles je ne m'y ferais peut être jamais en France.*

1.- Que además de ser interminable, durante el invierno el sol no salga antes de las 9 de la mañana y se haga de noche a las 5 de la tarde.

1.- Qu’en plus d’être interminable, pendant l’hiver le soleil ne se pointe avant 9h le matin et qu’il fasse nuit à 17h le soir.

Hace seis años que estoy en Francia, seis inviernos largos y sombríos en los que me he acostumbrado a vestirme por capas como cebolla, a obligar a mi naturaleza friolenta a soportar mejor las bajas temperaturas, a atrapar recurrentes resfriados de antología y hasta a desconfiar de los días de nieve.

Doudoune
Ça fait six années que je suis en France, six longs et sombres hivers pendants les quels je me suis habituée à m’habiller par couches comme un oignon, à forcer ma nature frileuse à mieux supporter les basses températures, à choper rhumes d’anthologie assez fréquents et même à me méfier des jours où il y a la neige.

También aprendí que siempre, siempre hay que quitarse los abrigos al llegar a algún lugar -llámese restaurante, cine, biblioteca o la casa de alguien- y eso aunque tengamos algo de frío, porque de no hacerlo, cuando salgamos a la calle el choque térmico será más fuerte y por lo mismo, más difícil de soportar.  

J’ai aussi appris qu’il faut toujours, toujours enlever son manteau en arrivant quelque part –que ce soit un restaurant, cinéma, bibliothèque ou chez quelqu’un- et cela même si nous avons froid parce que si nous ne le faisons pas, le choc thermique sera encore plus fort au moment de sortir, et du coup, encore plus dur à supporter.

Sí, me he acostumbrado a muchas cosas pero hay algo que me sigue costando –y dudo que un día pueda- asimilar y es lo largos que pueden ser los inviernos y lo poco, poquísimo que dura la luz del día en esa estación.

Oui, je me suis habituée à tout plein de choses mais il y a une à la quelle ne suis pas encore parvenue à m’y faire –et je doute fort que cela arrive un jour- et c’est ô combien peuvent être longs les hivers et le peu, mais si peu qui dure la lumière du jour pendant cette saison.

Es una sensación tan extraña decirse que aún es de día y que sin embargo, afuera ya reina la oscuridad. Es casi como si me hubieran robado una parte del día y ni hablar de mi tendencia paranoide que si estoy en la calle hace que me ponga en un estado de alerta nerviosa en cuanto cae la noche, que en el invierno, como ya lo dije, ocurre bastante temprano. 

C’est une sensation si étrange que se dire qu’il n’est encore que le début d’après midi et pourtant, l’obscurité règne déjà dehors. C’est presque comment si on m’avait volé une partie de la journée et n’en parlons pas de mon penchant paranoïde qui me met dans un état d’alerte nerveuse dès qu’il fait nuit lorsque je suis à l’extérieur, chose qui, pendant l’hiver, arrive très, très tôt.

No me gusta nada la oscuridad y aunque en estos seis años jamás nadie me ha realmente agredido o puesto en peligro -y que lo más grave que me ha ocurrido es que un carterista me robara el celular en un descuido-, el sentimiento de inseguridad que me embarga cuando oscurece, sigue siendo el mismo.   

Je n’aime pas l’obscurité et malgré le fait que pendant ces six années personne ne m’ait jamais vraiment agressée ou mise en péril –le plus grave qui m’est arrivé c’est la fois où par mégarde je me suis fait voler mon portable par un pick-pocket -, le sentiment d’insécurité dont je suis prise à la tombée du jours, reste toujours le même.

Y como si no fuera suficiente, los inviernos parecen interminables y cuando pensamos que el tiempo por fin va a mejorar, de la noche a la mañana bajan las temperaturas y hasta vuelve a nevar. Como hoy.

Et comme si cela ne suffisait pas, les hivers semblent interminables et quand nous pensons que le temps va en fin s’améliorer, du jour au lendemain les températures font chute libre et même il peu se remettre à neiger. Comme aujourd’hui.

Es tan triste pensar que en México los gruesos abrigos ya están bien guardados en los armarios cuando aquí, la primavera todavía se sigue haciendo esperar. Pero ni hablar, así es el invierno en Francia y siempre podemos pensar que hay lugares donde el tiempo es todavía peor y visto así, hay que reconocer que no estamos tan mal...

C’est si triste de se dire qu’au Mexique les gros manteaux sont déjà bien rangés dans les placards alors qu’ici, le printemps se fait toujours attendre. Mais bon, en France c’est comme ça et nous pourrons toujours nous dire qu’il y a des endroits avec un temps encore pire et vu comme ça, il faut admettre qu’ici ce n’est pas si mal que ça…


*Esta lista no es limitativa, exhaustiva ni va por orden jerárquico, la iré construyendo según la inspiración del momento ;)

*Cette liste n’est pas limitative, exhaustive et ne suit pas un ordre hiérarchique, je la ferais à fur et à mesure selon l’inspiration du moment ;)

vendredi 18 janvier 2013

Petit Monstre y la nieve / Petit Monstre et la neige

De la serie : "Las pequeñas (y grandes) tribulaciones de una buena madre mexicana" 

De la série : « Les petits (et gros) tracas d’une bonne mère mexicaine»
 
Llena de esperanza y a pesar del frío, Petit Monstre y yo finalmente salimos a dar una vuelta para tratar de disfrutar el poco de nieve que había caído durante la noche. Por una vez, él caminaba tranquilamente de la mano junto a mi, la mañana era bella y en el paseo de al lado había suficiente nieve para divertirse.

Pleine d’espoir et malgré le froid, Petit Monstre et moi sommes finalement allés faire un petit tour dehors pour essayer de profiter du peu de neige tombée pendant la nuit. Pour une fois il marchait sagement à mes côtés en me tenant par la main, la matinée était belle et dans la promenade à côté il y avait assez de neige pour s’amuser.

Como es un lugar más o menos aislado e inaccesible para los coches –al menos hasta el otro lado en donde termina por dar a la carretera- decidí dejarlo explorar los alrededores a su antojo, pensando que se quedaría cerca de mi jugando en el suelo... como la mayoría de los niños, quiero creer. Pero fué sin contar con su espíritu aventurero que lo llevó a correr como un Forrest Gump alocado y que complicó con mucho la tarea de tomar unas fotos, muy pocas de él por obvias razones -ni modo abuelos, ya se fregaron-  y jugar con la nieve, objeto de nuestra salida.

Comme c’est un coin plutôt isolé et inaccessible pour les voitures –du moins jusqu’au bout, où il finit par rejoindre l’autoroute- j’ai décidé de le laisser explorer les alentours à sa guise en pensant qu’il resterait près de moi à jouer par terre... comme la plupart des enfants, je veux croire. Mais c’était sans compter avec son esprit d’aventurier qui le poussa à courir tel un Forrest Gump forcené qui compliqua énormément la tâche de faire quelques photos dont très peu de lui -tan pis pour les grand parents- et jouer avec la neige, but de notre sortie.

El, ligero como el viento, yo, tratando de no resbalarme, al final terminé por alcanzarlo y, después de hacer lo posible para que no volviera a salir disparado y no caer –está vez de lado peligroso de las banquetas de hielo-  y  sin haber realmente tocado la nieve –salvo la que estaba sobre los coches en el estacionamiento-, la expedición llegó a su fin y volvimos a casa al cabo de poco más de media hora. 

Lui, léger comme le vent, moi, en essayant de ne pas glisser, j’ai fini néanmoins par le rattraper et, après faire de mon mieux pour l’empêcher de partir à nouveau en fusée -cette fois-ci du périlleux côté des trottoirs glacés et ne pas tomber-, au bout d’un peu plus d’une demi heure et sans avoir vraiment touché à la neige –sauf celle sur les voitures dans le parking-, l’expédition toucha à sa fin. 

Al menos él se habrá divertido y puede que yo haya conseguido quemar unas cuantas calorías ^^’

Au mois lui, il s’aura bien amusé et peut être que moi j’aie réussi à brûler quelques calories  ^^’

mercredi 16 janvier 2013

La triste verdad acerca de la nieve / La triste vérité à propos de la neige

Cuando desperté, abrí las persianas y... sorpresa! Descubro una mañana nevada pero nada imprevisible porque estuvo nevando toda la noche... con el frío que la acompaña. Sólo es un poco de nieve pero de todos modos da gusto verla y hay suficiente como para que valga la pena abrigar a Petit Monstre y practicar el arte de hacer monos de nieve, por suerte el día es muy soleado.


A mon réveil,  j’ouvre les volets et… surprise ! Je découvre un matin enneigé mais rien d’étonnant car il a neigé toute la nuit… avec le froid qui va avec. Ce n’est pas une énorme couche de neige et ça fait plaisir à la regarder et il y en a assez pour que ça vaille le coup emmitoufler Petit Monstre et s’exercer dans l’art du modelage de bonhommes de neige,  heureusement il fait très beau dehors.



Lo que me lleva a decirles que la nieve es maravillosa, más aún si no la conocen. Sí, la nieve es genial sobre todo cuando se puede ir de vacaciones a la montaña o simplemente cuando podemos quedarnos al abrigo de nuestra casa, bien tapados con una cobija y una rica taza de chocolate caliente en la mano.
  
Ce qui m’amène à vous dire que la neige est merveilleuse, d’autant plus si vous ne la connaissez pas. Oui, la neige est belle mais surtout quand on peut partir en vacances à la montagne ou encore, quand nous pouvons rester bien à l’abri de notre chez nous, sous un plaid et une bonne tasse de chocolat chaud dans la main.


Cómo hacen soñar esos bellos paisajes nevados de postal ! Esos niños que se lanzan bolas de nieve que les revientan en la cara con alegría. Navidades blancas con fondo nórdico, con alce -ou reno de nariz roja, como gusten- delante de la puerta de una encantadora cabaña de madera. La felicidad del deslice y el paseo en trineo...

Qu’ils font rêver ces beaux paysages enneigés de carte postale ! Ces enfants qui se lancent des boules de neige que leur éclatent sur la figure avec joie. Des Noël blancs au décor nordique, avec élan -ou renne au nez rouge, au choix- devant la porte d’une charmante cabane en bois. Le bonheur de la glissade et la promenade en luge…


Pero he aquí lo que ustedes –sí, ustedes que sueñan con la nieve en toda su helada blancura- ignoran acerca de ella... y quizas no quieran saber pero de todos modos se los diré. La nieve no siempre es la felicidad, al contrario. Porque las vacaciones, las películas y las postales son una cosa, la realidad en la ciudad y lo cotidiano, otra muy diferente.

 Mais voilà ce que vous -oui, vous qui rêvez de la neige dans toute sa froide blancheur- ignorez à son sujet… et peut être ne voulez pas savoir mais je vais vous le dire quand même. La neige ce n’est pas toujours le bonheur, loin de là. Parce que les vacances, les films et les cartes postales sont une chose, la réalité dans la ville et le quotidien, toute une autre.  

Ir a trabajar o asistir a la escuela cuando neva es una miseria, porque la bella capa de nieve, en el peor de los casos termina por transformarse en una de hielo y en el mejor, en un repugnante lodo escarchado que se pega en la ropa y en los zapatos y que puede durar varios días en el suelo, si el ayuntamiento tiene los medios –y las ganas- de echar sal en las calles, por supuesto. Si no, hola, las banquetas de hielo!


Aller travailler ou se rendre à l’école alors qu’il neige c’est la misère, car la belle couche de neige au pire finit par se transformer en verglas et au mieux en une boue givrée dégueulasse qui colle aux chaussures et aux vêtements et qui peut rester sur la chaussée plusieurs jours si la mairie a les moyens –et l’envie- de saler les rues, bien entendu. Sinon, bonjour les trottoirs de glace !

Unos cuantos centímetros de nieve en la ciudad y es el fin del mundo : vuelos cancelados,  trenes retardados, puede que hasta suprimidos por un tiempo indeterminado, no hay autobuses y el hielo hace las calles tan resbalosas como pistas de patinaje –ni hablar de las banquetas- y, aún con toda la buena voluntad del mundo, mientras tratamos de no caer cual torpe vaca por culpa del terreno resbaloso, nos soprendemos maldiciendo esos lindos copos de nieve que por poco que haya viento, vienen a incrustarse por miríadas en los ojos y pican, -vaya que pican!- se los aseguro. Sin olvidar que, sin paraguas, se termina por estar mojado porque se funden sobre los cabellos y la ropa, una verdadera maravilla!

 Quelques centimètres de neige en ville et c’est la fin du monde: vols annulés, des trains retardés, voir carrément supprimés pendant un temps indéterminable, pas de bus et le verglas rend les routes aussi glissantes que des patinoires -n’en parlons pas des trottoirs- et, même avec toute la bonne volonté du monde, pendant qu’on essaye de ne pas chuter tel une vache maladroite à cause du terrain glissant, on se surprend à maudire ces jolis flocons qui pour peu qu’il y ait du vent, viennent s’enfoncer par myriades dans les yeux et ça pique –oh que oui!-, je vous assure. Sans oublier le fait que sans parapluie on finit par être mouillé car ils fondent sur les cheveux et les vêtements, une véritable merveille!

Ya me dirán si siguen soñando cuando se encuentren con un curioso bigote de escarcha tiritando de frío! Jamás olvidaré aquella vez en que creí que me congelaría. -20°C -excepcionales por estos rumbos- y el trayecto de la parada del camión hasta el trabajo fué algo horrible. Cada vez me costaba más caminar, al punto en que creí que acabaría como el "T 2000" de la pelicula  Termitator 2, las piernas rotas en mi impulso de caminar para terminar en el suelo rota en mil pedazos. Al menos esa vez, resbalarme era la menor de mis preocupaciones. 

Vous me direz si vous continuez à rêver quand vous vous trouverez avec une drôle de moustache de givre en train de grelotter! Je n'oublierai jamais la fois où j'ai cru que j'allais geler sur place. -20°C-exceptionnels dans le coin- et le trajet de l'arrêt bus jusqu'au travail c'était l'horreur. J'avais de plus en plus du mal a marcher, au point que j'ai cru que j'allais finir comme le "T 2000" du film Termintator 2, mes jambes casées dans mon élan de marche pour finir par terre brisée en plein petits morceaux. Là au moins je ne craignais pas la glissade.

Con todo, hay que decir que desde entonces ya no hago tanto alboroto por los 4 miserables  grados promedio del invierno por aquí. Pero bueno, hoy y ya que estamos en casa, disfrutemos de un buen chocolate caliente y luego de ese bello paisaje antes de que la nieve se funda... y se convierta en trampa mortal ^^’


 Puis, il faut dire que depuis je fais beaucoup moins de chichis pour les 4 miserables dégrées en moyenne hivernale par ici. Mais bon, aujourd’hui et, puisque nous sommes à la maison, profitons d’abord d’un bon chocolat chaud et puis de ce beau paysage avant que la neige ne fonde... est se transforme en piège mortelle ^^’