jeudi 8 août 2013

Los niños nacen en las coles… /Les garçons naissent dans les choux...

...y las niñas en las rosas. En Francia, los bebés no llegan de París transportados por las cigueñas, que lo más cerca que pueden estar de un recien nacido, quizas sea cuando anidan en el techo de alguna casa en Alsacia. No, los niños se encuentran en el jardín o en el huerto, escondidos entre las hojas perladas de rocío de las coles o los delicados pétalos de una rosa.

...et les filles dans les roses. En France, les bébés n’arrivent pas de Paris transportés par les cigognes, qui, au mieux, pourraient approcher un nouveau né en construisant un nid dans la toiture d’une maison alsacienne. Non, les bébés on les trouve dans le potager ou le jardin, cachés entre les feuilles perlées de rosée des choux ou les pétales délicats d’une rose.

Aunque es cierto que en el folklor francés la cigueña se sigue asociando a los nacimientos para “explicarle” a los niños de dónde vienen los bebés, en la actualidad es más común que se hable de flores y hortalizas. Hay quienes suponen que debe ser porque en algún momento, mucho, mucho tiempo atrás, a alguien se le ocurrió atribuirle propiedades de fertilidad a una col -vayan a saber por qué.

Même si c’est vrai que dans le folklore français la cigogne est toujours associée à la naissance pour « expliquer » aux enfants d’où viennent les bébés, aujourd’hui c’est plus courant qu’on parle de fleurs et de légumes. Certains gens supposent que cela est peut être dû à que, quelque part très, très loin dans le passé, quelqu’un eût l’idée d’attribuer aux choux des propriétés de fécondité –allez savoir pourquoi. 

Otra versión surge de una leyenda de la Grecia antigua en donde la esposa del rey Agamenón tuvo tres hijas y un niño que fueron arropados con pétalos de rosa y las hojas de una col, respectivamente. La rosa, al ser un símbolo de feminidad por excelencia, lógicamente fué adjudicada a las niñas y para no causar agravios ni confusiones, la col fué reservada al niño.

Une autre version trouve son origine dans une légende de la Grèce Antique où la femme du roi Agamemnon accoucha de trois filles et un garçon, enfants aussitôt langés avec des pétales de rose pour les filles et des feuilles de chou pour le garçon. La rose, étant un symbole de féminité par excellence, logiquement fût attribuée aux filles et pour qu’il n'y ait pas des confusions pouvant nuire au garçon, les feuilles de chou le lui furent réservées.


Sea cual sea la versión o el folklor según las latitudes, lo cierto es que me sería mucho más sencillo ir buscar entre las rosas de algún jardín a Miss Candy o simplemente esperar a que alguna cigueña desorientada llegue tranquilamente con ella de París...   ;)


Peu importe la version ou le folklore selon les latitudes, c’est certain qu’il me serait beaucoup plus simple d’aller chercher Miss Candy parmi les roses dans un jardin ou alors, juste attendre qu’une cigogne déboussolée vienne avec elle de Paris pour me l’amener… ;) 








2 commentaires:

  1. Que maravilla, cualquiera pensaría que por ser París, las cigüeñas con los bebes llegan mas rápido, vaya que no sabia que en realidad había que ir a buscarlos al jardín ;-)

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