mardi 18 novembre 2014

Los "Peludos" y la flor azul / Les "Poilus" et la fleur bleu

Podría comenzar diciendo: "Había una vez un grupo de hombres valerosos que luchaban por su país, enfrascado en una terrible guerra...". 

Je pourrais commencer avec un "Il était une fois un groupe de braves hommes qui se battaient pour leur pays, plongé dans une terrible guerre...".

Aunque el título de éste post suene como al de un cuento para niños con ogros, hadas o flores encantadas, lo que narra es otra historia. Y en realidad es parte de la Historia en general y de la Historia de Francia, de hecho, que encuentra su origen y apogeo durante la Gran Guerra, para ser más precisos.

Bien que le titre de ce billet semble convenir à un conté pour enfants avec des ogres, fées ou fleurs magiques, ce qui raconte c'est toute une autre histoire. Et à vrai dire il s'agit de l'Histoire en général et de l'Histoire de France, en fait, qui trouve ses origines et apogée pendant la Grande Guerre, pour être plus précis.

Como cada año, el martes pasado tuvo lugar una serie de ceremonias conmemorativas por el 11 de noviembre de 1918 -fecha que pondría fin a la Primera Guerra Mundial- y como cada año, en todos los países que la celebran, arreglos florales, funcionarios y participantes se cubrieron de amapolas rojas*... excepto en Francia.

De même que chaque an, le mardi dernier ont eu lieu plusieurs cérémonies commémoratives pour le 11 novembre de 1918 -date qui mettrait fin à la Première Guerre Mondiale- et comme à chaque année, dans tous les pays qui la célèbrent, bouquets, fonctionnaires et participants se sont couverts de coquelicots rouges... sauf en France. 

Porque en Francia la flor se vuelve azúl y ya no son amapolas sino acianos/azulejos -bleuets- los que se ofrendan. Azúl como el uniforme de aquellos soldados que virtieron su sangre en los mismos campos de batalla en los que florecieron las amapolas y con ellas, también esas curiosas flores que aquí, ese día y en tierras galas, se ostentan.

Parce que en France la fleur devient bleue et ce ne son plus des coquelicots mais des bleuets qui serviront en guise d'offrande. Bleu comme l'uniforme de ces soldats qu'auront versé leur sang dans les mêmes champs de bataille où sont poussés les coquelicots, et avec, ces drôles de fleurs qu'ici, ce jour-là et en terre gaule, s'affichent.


Antes de hablar un poco más de ésta flor y de su importancia en Francia a través de los años, primero quiero aclarar el misterio de los "Peludos".  "Peludos" no es sino la palabra con la que se designa a los soldados franceses del 14-18. La razón? Y bien, una versión cuenta que empezaron a llamarlos así porque las condiciones en la trinchera les impedían ocuparse de cuestiones fútiles tales como cortarse el pelo o rasurarse; el sobrenombre no podía ser más evidente aunque algo inexacto ya que el uso de las máscaras de gas era incompatible con una excesiva pilosidad. Quizas el apodo se deba más al sentido de bravura y virilidad que implica ser "un hombre de pelo en pecho", pero sea cual sea su verdadero origen, el caso es que éste se popularizó y llegó para quedarse.

Avant de parler un peu plus de cette fleur et son importance en France au fil des années, je voudrais d'abord éclaircir le mystère des "Poilus". Pour ceux qui ne le savent pas encore, "Poilus" c'est le nom avec le quel on désignait les soldats français du 14-18. Pourquoi? Et bien, une version raconte que les gens ont commencé à les appeler comme ça parce que les conditions dans les tranchées leur empêchaient de s'occuper des choses aussi futiles que se faire couper les cheveux ou se raser; le surnom ne pouvait être plus évident bien que pas tout à fait exact puisque l'utilisation des masques à gaz était incompatible avec une pilosité trop excessive.  Peur être que le surnom est dû plus au sens  de courage et bravoure associé à ceux qui ont du poil au torse, mais quelqu'elle soit la véritable explication, le fait est que cette dénomination s'est vite popularisé et perdure jusqu'à nos jours.

Como había dicho más arriba, los azulejos/acianos florecían al igual que las amapolas en  los revueltos campos de batalla y, curiosamente, los  jóvenes reclutas también eran llamados "bleuets" por los "Peludos" más ancianos ya que sus uniformes de un azúl cielo -todavía inmaculado al llegar a las trincheras-  venían a contrastar con los de los otros ya bastante enlodados. Fue así que naturalmente terminaron asociando los soldados con ésta flor.


Comme je l'avais dit un peu plus haut dans le texte, les bleuets fleurissaient de même que les coquelicots dans les champs de bataille retournés et, par ailleurs, c'était aussi le nom que les Poilus plus anciens donnaient aux  jeunes recrues parce que leurs uniformes d'un bleu horizon -encore immaculé en arrivant aux tranchés- venait à contraster avec ceux des autres déjà bien trop boueux. C'est ainsi que tout naturellement les soldats furent associés avec ces fleurs. 

Pero la historia del bleuet no termina aquí, su utilización como insignia comienza en 1916 cuando dos mujeres, conmovidas por el sufrimiento de los heridos de guerra que cuidaban, decidieron crear talleres para que éstos pudieran confeccionar flores de tela y así permitirles retomar una actividad remunerada con el producto de las ventas. No es sino hasta septiembre de 1920 que se oficializa como representación de los "Muertos por Francia". 

Mais l'histoire du bleuet ne s'arrête pas là, son utilisation en tant qu'insigne trouve ses débuts en 1916 quand deux femmes, émues par la souffrance des blessés de guerre confiés à leurs soins, ont procédé à la création d'ateliers où ces derniers pouvaient confectionner des fleurs en tissu leur permettant ainsi de reprendre une activité rémunéré avec le produit des ventes. Son officialisation en tant que représentation des "Mort pour la France" n'arrivera que jusqu'à septembre 1920. 

Recientemente su uso se va haciendo cada vez más presente entre los participantes de las ceremonias conmemorativas y su venta -organizada por la asociación de interés público, L’Œuvre Nationale du Bleuet de France-  se realiza en las calles por personas benévolas durante los días patrios  -8 de mayo y 11 de noviembre-, destinando los fondos recaudados a obras sociales en favor de los veteranos, sus viudas y otros relacionados con la guerra y actividad militar.

Récemment  son port devient de plus en plus présent entre les participants aux cérémonies commémoratives  et sa vente -organisée pas l'association d'intérêt publique, L’Œuvre Nationale du Bleuet de France- se réalise dans les rues par des bénévoles les jours patriotiques -à savoir le 8 mai et le 11 novembre-, destinant les fonds récoltés à des œuvres sociales en faveur des vétérans, leurs veuves et autres en relation avec la guerre et l'activité militaire.


Photo Claude TRUONG-NGOC 
Así que la próxima vez que vean ésta linda flor en la solapa de alguien, ya saben lo que significa ;)  

Donc, la prochaine fois que vous verrez cette si jolie fleur dans la boutonnière de quelqu'un, vous saurez ce que cela signifie ;)



* La amapola roja es el símbolo del Día del Recuerdo, de los Veteranos o Poppy Day que se celebra el 11 de noviembre para conmemorar el fin de la Primera Guerra Mundial, ya había hablado un poco de ello aquí.

* Le coquelicot rouge est le symbole du Jour du Souvenir, des Vétérans ou Poppy Day qui se célébré le 11 novembre pour commémorer la fin de la Première Guerre Mondiale, j'en avais déjà un peu parlé à ce sujet par ici.  


lundi 10 novembre 2014

El 11 de noviembre / Le 11 novembre

Al vivir en otro país los días festivos y sus por qués cambian y terminan supliendo, en cierto modo, aquellos a los que estabamos acostumbrados. Si noviembre en México es sinónmo de día de muertos y del aniversario de la revolución mexicana, en Francia, fuera de la Toussaint -fiesta de todos los santos- y si miramos de cerca, noviembre tiene más bien matices de guerra.

Lorsque l'on s'installe dans un autre pays pour y vivre, les jours fériés ainsi que les raisons de ceux-ci changent et finissent par remplacer, en quelque sorte, ceux auxquels nous étions habitués. Si au Mexique le mois de novembre est un synonyme de la fête des morts et de l'anniversaire de la révolution mexicaine, novembre en France et en dehors de la Toussaint, tout en regardant de plus près a plutôt des nuances de guerre.


El 11 de noviembre que para mí no significaba nada, hoy que conozco un poco más la historia de mi país de adopción, de algún modo me conmueve... como todo aquello que concierne a las dos grandes guerras de la historia moderna y que marcarían tan profundamente a Francia. Pero qué se celebra el 11 de noviembre? El calendario marca simplemente "l'Armistice", el armisticio.

Le 11 novembre qu'auparavant ne signifiait rien pour moi, aujourd'hui que je connais un peu mieux l'histoire de mon pays d'adoption, cette date me touche en quelque sorte... comme tout ce qui concerne aux deux grandes guerres de l'histoire moderne et qui auraient marqué si profondément la France. Mais, que fêtons nous le 11 novembre? Le calendrier affiche juste "l'Armistice".

Sin entrar en detalles ni evocar la definición de ésta palabra -o el hecho de asociarla a un día libre para ir de compras porque el centro comercial está excepcionalmente abierto*-, el Armisticio de 1918 significó el cese al fuego y el principio del fin de la Gran Guerra, convirtiéndose así en un día de fiesta nacional por excelencia y toda ciudad o pueblo bicicletero de Francia que se respete, cuenta con su respectivo monumento conmemorativo en el que cada 11 de noviembre, se honra a los héroes caídos durante este lamentable conflicto. 

Sans approfondir en détails ni évoquer la définition de ce mot -ou le fait de l'associer à un jour libre pour aller faire du shopping parce que le centre commercial sera exceptionnellement ouvert*- , l'Armistice de 1918 a signifié le cesse au feu et le début de la fin de la Grande Guerre, date qui deviendrait un jour de fête nationale par excellence et toute ville ou village aussi paumé qu'il puisse l'être en France, a son propre monument commémorative où chaque 11 novembre va se rendre hommage aux héros tombés lors de ce si regrettable conflit. 


Monument aux morts
Flores, banderas tricolor, uniformes, alcaldes, funcionarios, descendientes de soldados, uno que otro veterano -de la segunda guerra, el último sobreviviente de la del 14-18 falleció en el 2011-, la Marsellesa y un sentimiento nacional que flota en el ambiente y arde con fervor en el corazón de esos franceses que -si bien, no es el caso de todos ni podemos generalizar- aman y les duele Francia tanto como yo amo y puede dolerme México.

Des fleurs, drapeaux tri couleur, uniformes, fonctionnaires publiques, descendants des soldats, un ou deux vétérans -de la deuxième guerre mondiale, le dernier survivant du 14-18 ayant décédé en 2011-, la Marseillaise et un sentiment national qui flotte dans l'air et brûle avec ferveur dans le cœur de ces français qui -bien que ce n'est certainement pas le cas de tous ni l'on peut pas généraliser- aiment et pleurent la France autant que moi je peux aimer et pleurer le Mexique.    

Lo que me conmueve no es el evento en sí ni que celebren una vieja víctoria, cierto, de importancia capital, que luego les cobraría con intereses Alemania -al menos por un tiempo. No, me conmueve ver cómo todos estamos arraigados a algún lugar que llamamos Patria y casi de manera indisociable, a su historia, geografía, sus héroes, batallas. Un conjunto de todo que a veces, sin quererlo, hasta se inscribe en nuestro ADN lo mismo aquí que allá. De verdad que veces somos tan distintos y sin embrago tan iguales...

Ce qui me touche ce n'est pas l’événement par lui même ni le fait de célébrer une vieille victoire,certes, de grande importance que plus tard viendrait leur faire payer avec intérêts l'Allemagne -du moins pendant quelque temps. Non, ce qui me touche c'est de voir comme nous sommes tous attachés à un endroit qu'on appelle Patrie et presque de façon indissociable, à son histoire, géographie, héros, batailles... Un ensemble de tout que malgré nous, vient s'inscrire dans notre ADN que l'on soit d'ici ou là bas. Vraiment que nous pouvons être si différents et pourtant si semblables parfois...


Después de haber tenido la oportunidad de conversar de manera inesperada con un testigo de la época, no puedo evitar pensar en quienes vivieron en ese tiempo en el que estaba prohibido y era severamente castigado cualquier intento de rememorar esta fecha -summum de la humillación y el desprecio de la identidad nacional por parte del ocupante- y en lo mucho que eso puede doler. 

Après avoir eu l'opportunité d'avoir une discussion de façon inattendue avec un témoin de l'époque, je ne peux pas m'empêcher de penser à ceux qui ont vécu dans ce temps où c'était formellement interdit et était punie avec sévérité toute tentative de remémorer cette date -summum de l'humiliation et le mépris de l'identité nationale de la part de l'occupant- et à combien ça peut faire mal. 
   
Y entonces pienso en mi propio amor a la patria, mi patria lejana que inevitablemente forma parte de lo que soy. Mi patria ultrajada que me duele y en lo mucho que ha podido cambiar mi percepción acerca de tantas cosas cuando se tiene la ocasión de mirar el conjunto desde la distancia...

Et je pense alors à mon propre amour à la Patrie, ma patrie lointaine qui, inévitablement, fait partie de ce que je suis. Ma patrie outragée que je pleure et à combien ma perception de tellement de choses a pu changer dès que l'on a l'occasion de regarder l'ensemble dans la distance.

Ciertamente no estaré mañana presente en la ceremonia del 11 de noviembre cantando la Marsellesa, pero mientras vaya caminando de la mano de mis hijos por aquellas calles cubiertas de hojas en un típico día de otoño en éste pedacito de tierra que se ha convertido en mi hogar, igual pensaré en aquellos jóvenes y ancianos que resguardan la memoria de sus antepasados y la suya al haber vivído en carne propia el horror de la guerra y la Ocupación... 

Très certainement je ne serais pas présente demain dans la cérémonie du 11 novembre en train de chanter la Marseillaise, mais quand je marcherais avec mes enfants par ces rues couvertes de feuilles dans un jour banal d'automne en ce bout de terre qui est devenu mon chez moi, je penserais quand même à ces jeunes et vieux qui sauvegardent la mémoire de leurs ancêtres, voir même la leur ayant vécu en chair propre toute l'horreur de la guerre et l'Occupation... 






* En teoría, los días feriados no se trabaja y todos los comercios están cerrados, de ahí la mención "abierto excepcionalmente el día X" que además de darle a la gente la oportunidad de hacer algo más que quedarse sentados viendo peliculas domingueras en el sillón, también incita al consumismo.

*Théoriquement, les jours fériés sont chômés et tous les commerces fermés, de là la mention "exceptionnellement ouvert le jour X" qu'en plus d'offrir la possibilité aux gens de faire un peu plus que regarder des nanars à la télé cloués à leur canapé, elle sert aussi à inciter la consommation.

samedi 1 novembre 2014

Livin' la vida loca!

Y no precisamente en el sentido parrandero de la canción. Después de una rentrée bastante agitada que tuvo como episiodios "Petit Monstre y la escuela", "Miss Candy y los dientes", una gastro, dos gripas de antología -la segunda todavía de actualidad-, la trágica muerte de mi viejo PC -que en paz descanse-, travesuras al cuadrado, algunos kilos ganados en diversas comidas mexicanas, un khi tes *, una fiesta de cumpleaños por preparar y entre muchas otras cosas, el reciente capítulo de "Las maravillas de la vida escolar en Francia" y tres semanas de vacaciones del terror por la Toussaint**, por fin, mientras Miss Candy hace su siesta y Petit Mostre mira con emoción una película de Elmo, hoy pude encontrar cinco minutos de paz para sentarme a escribir en medio del caos que, como siempre, reina en mi casa. Sobra decir que con dos niños pequeños la palabra "orden" se convierte no sólo en una misión imposible sino también en un concepto de lo más abstracto.


Et pas vraiment dans le sens fêtard de la chanson. Après un rentrée assez mouvementée ayant eu comme épisodes "Petit Monstre et la maternelle", "Miss Candy et les dents", une gastro, deux rhumes à crever -dont le deuxième es toujours d'actualité-, le décès tragique de mon ancien PC -paix à son âme-, des bêtises multipliées au carré, quelques kilos supplémentaires acquis lors des divers repas mexicains, un khi tes*, une fête d'anniversaire à préparer et parmi plein d'autres choses le plus récent chapitre "Les merveilles de la vie à l'école" et trois semaines de vacances de la terreur pour la Toussaint**, entre la sieste de Miss Candy et pendant que Petit Monstre regarde avec émotion un film d'Elmo,  je trouve un fin cinq petites minutes de paix pour venir m'asseoir et écrire au milieu du chaos qui,  comme d'habitude, règne chez moi.  

En resumen: desde hace un par de meses mi vida ha sido una verdadera locura, el blog me ha hecho mucha falta y mi PC todavía más. Pero estoy de regreso -quizas más como un zombi que luego de una verdadera resurrección- y aunque sé que tal vez nunca se realizará mi sueño dorado de encontrarme escribiendo en mi nuevo pc -que por cierto, todavía no he terminado de domar- desde una isla paradisíaca tipo spa y no desierta como lo suele desear la mayoría -porque en ese caso prefiero seguir lidiando con mis pigmeos- , aquí me tendrán de vuelta a las andadas.


En conclusion: Depuis quelques mois ma vie est devenue complètement folle, le blog m'a énormément manqué et mon PC encore plus. Mais me voilà de retour -peut être plus comme un zombie qu'après une véritable résurrection- et même si je sais que mon rêve le plus cher, à savoir, me trouver en train d'écrire sur mon nouveau PC -que je n'ai pas encore fini de dompter, par ailleurs- depuis une île paradisiaque type SPA et non pas déserte comme pourrait le souhaiter la plupart des gens -car dans ce cas de figure je préfère encore continuer à courir derrière mes pygmées à moi-, vous me verrez de retour par ici.


Y ya que hablamos de islas desiertas y sueños de madres desbordadas, sinceramente no veo en qué puede ser ni de lejos relajante tener que andar cazando bichos que en otras circunstancias ni nos atrevemos a mirar y mucho menos tocar, vestirse con hojas de palma -que pican!- y hacer cuerdas con lianas para tratar de sobrevivir al más puro estilo de "Men Vs Wild". En ese caso mejor quedarse en el confort de la civilización, por más loca que ésta sea siempre se puede pedir una pizza para cenar.

Et puisqu'on parle d'îles désertes et rêves des mères surmenées, franchement je ne vois pas en quoi peut être relaxant, même de loin, le fait d'avoir à chasser des bestioles que dans d'autres circonstances nous n'aurions pas osé regarder et encore moins toucher, aller s'habiller avec des feuilles de palmier -qui piquent!- et faire des cordes avec des lianes au pur style de "Seul contre la nature". Dans ce cas là autant de rester dans le confort du monde civilisé, aussi fou qu'il le soit on pourra toujours se faire livrer une pizza pour le dîner. 

Así que desde mi jungla suburbana les deseo un muy buen día y espero que ya pronto estaré poniendome al día con todo lo que tengo que contar en el blog ;)

C'est ainsi donc, que je vous souhaite une très bonne journée depuis ma jungle banlieusarde et j'espère mettre bientôt à jour tout ce que j'ai à raconter dans le blog ;)



* Ceremonia hmong que en otra ocasión abordaré como parte de la serie "El frijol en el arroz".

*Cérémonie hmong que je vous raconterai en détail une autre fois dans la sérié "L'haricot dans le riz".


** La Toussaint es el día de todos los santos que se festeja el primero de noviembre, fecha en la que los franceses acostumbran visitar las tumbas de sus seres queridos y aunque sigo sin entender cual es la relacion, los niños tienen derecho a dos fabulosas semanas de vacaciones escolares a fines de octubre.