dimanche 22 novembre 2015

Yo soy París / Je suis Paris

Viernes 13 por la noche, el cansancio me gana y me duermo con el libro en la mano y la mente en 1866 a bordo del Abraham Lincoln en busca de un misterioso "monstruo" marino, dispuesta a sumergirme en el universo de Julio Verne y sus "20,000 leguas de viaje submarino" cuando, sin saber por qué, algo me despierta. La casa está en calma y prendo mi teléfono para ver la hora y encuentro un: "han visto las noticias?". Rápidamente busco el canal de noticias y me quedo helada. Al poco tiempo, mi hermana, me envía un mensaje para saber si estamos bien.

Le soir du vendredi 13, la fatigue me fît sombrer dans le sommeil avec mon livre encore dans la main et l'esprit en 1866 à bord de l'Abraham Lincoln à la chasse d'un mystérieux "monstre" marin, prête à plonger dans l'univers de Jules Verne et ses "20,000 lieues sous mer" lorsque, sans savoir bien pourquoi, quelque chose me réveilla. Le calme régnait dans la maison lorsque j'allume mon portable pour regarder l'heure et trouver un "vous avez vu le journal?". Rapidement, je cherche la chaîne de notices et je reste de marbre. quelques minutes après, je reçois le message de ma sœur demandant si nous allons bien. 

Mi suburbio parisino está lo suficientemente lejos como para escapar esa noche del constante ulular de las sirenas, de las terribles explosiones e infinidad de detonaciones. De la escena de horror que tuvo lugar en una noche cualquiera, en una ciudad normalmente llena de vida pero que, por horas interminables, se convirtió en una irreconocible zona de guerra. Uno de los peores escenarios terroristas, acababa de producirse sin que nadie pudiera evitarlo y sin que nadie, entonces supiera nada, la confusión era grande.

Ma banlieue parisienne se trouve assez loin de Paris pour échapper cette nuit au constant retentir des sirènes, aux terribles explosions et aux effroyables détonations. Loin de la scène d'horreur qui eût lieu une nuit comme toutes les autres, dans une ville habituellement pleine de vie mais, que pendant l'espace de quelques heures interminables, s'est transformée en méconnaissable zone de guerre. L'un des pire scénarios terroristes venait de se produire sans que personne ne puise l'empêcher et sans que personne, alors, sache rien, tellement la confusion était grande.

La información fue llegando a cuentagotas para horrorizarnos cada vez más, en una noche de las más oscuras en la historia de la ciudad.

L'information commença à arriver au compte-gouttes pour nous horrifier d'avantage, dans une des plus sombres nuits de l'histoire de la ville. 

 Y así, incapaz de despegar mi atención del noticiero, mientras escuchaba la voz temblorosa de aterrados periodistas, no hubo palabras para definir la emoción que me embargaba... Sigue sin haberlas.

Et ainsi, incapable de décoller mon attention du journal télévisé, pendant que j'écoutais la voix trouble des journalistes horrifiés, je n'ai pas trouvé des mont pour décrire l'émotion qui me submergeait... Je ne les trouve pas encore.

Como muchos residentes en Francia -si no todos-, pasé la noche entre el teléfono y el noticiero, rogando porque mis amigos parisinos estuvieran bien, porque los rehenes del Bataclan pudieran ser rescatados, que los terroristas fueran pronto detenidos y que terminara la pesadilla.  

Comme des nombreux résidents en France -si ce n'est pas tous-, j'ai passé la nuit entre le téléphone et le journal télévisé, en priant que mes amis parisiens se trouvaient bien, que les otages du Bataclan s'en sortent,  que les terroristes furent vite retrouvés et arrêtés et que le cauchemar touche à sa fin.

A una semana de los atentados, París no olvida pero vive, canta, ama y rie en un valiente acto de resistencia ante la amenaza terrorista más latente que nunca, porque la vida sigue, a pesar del duelo, del miedo y la incomprensión, sobre todo de aquella que minimiza, o peor aún, que justifica los espantosos ataques y que yo tampoco entiendo.


Paris
Une semaine après des attentats, Paris n'oublie pas mais vit, chante, aime et rit en un brave acte de resistance face à la menace terroriste plus latente que jamais, parce que la vie continue, malgré le deuil, la peur et incompréhension, surtout celle que minimise, pire encore, qui va jusqu'à justifier les épouvantables attaques et que moi non plus, je ne comprends pas.

Así nació, para algunos, la moda de un filtro tricolor acompañado de un hashtag que inundó las redes sociales como signo de solidaridad para luego, súbitamente en desbandanda, alinearse en un insoportable desprecio por toda muestra de empatía hacia Francia y sus ciudadanos, con tal un desborde de odio e intolerancia seguido de una francofobia irracional que no soy capaz de explicar y que podría resumirse en un: "Yo no soy París".

Ainsi naquit, pour certains, la mode d'afficher un filtre tricolore doublé d'un hashtag qu'inonda les réseaux sociaux en signe de solidarité pour ensuite, soudainement en débandade, s'aligner en un insupportable mépris pour toute marque d’empathie envers la France et ses citoyens, avec un tel déchaînement de haine et d’intolérance suivi d'une francophobe irrationnelle que je ne suis pas capable d'expliquer et qui pourrait se résumer en un: "Je ne suis pas Paris".

Sin embargo, yo lo soy y lo afirmo con convicción aunque haya quienes quieran ver en eso todas las aberraciones que según ellos, implica. Que si es por hacerme la interesante, para seguir una moda idiota, que si no soy francesa, que si no vivo en París, que si  soy malinchista, que si esto o que si lo otro. Quizas les duela tener que admitirlo, pero en el fondo, toda persona que se diga libre y civilizada, tendría que ser París. Y "Yo soy París" y lo soy porque si entendieran que París es un eterno encuentro de culturas, de respeto e intercambio, de apertura y de díalogo, entonces verían que tiene sentido. París no es sólo el bastión de ricos y rancios arístocratas que comen baguettes y compran a precios exhorbitantes en las boutiques de los Campos Elíseos que algunos -en su completa ignorancia- quieren ver, que por supuesto, los hay pero no es sólo eso. París es un mosaico de nacionalidades, credos, ideologías y razas, una ciudad llena de historia, de alegría, igualdad, cultura y libertad. París representa todo lo que los fanáticos de la sharia odian, es una luz que brilla incandescente en el mundo occidental. "Yo soy París", porque soy mujer y humana, completamente libre, de esa libertad que "aquellos" tanto aborrecen, porque no atacaron un país, ni una ciudad, atacaron lo que ésta representa. Es por eso que la noticia sacudió al mundo, pero ya no espero que esos nuevos francofóbos lo entiendan.

Pourtant, moi, je le suis et l'affirme avec conviction même s'il y en aura ceux qui voudront voir en ce fait toutes les aberrations que, d'après eux, cela implique. Que si c'est pour me rendre intéressante, pour suivre une mode idiote, que si je ne suis même pas française, que si je n'habite pas à Paris, que si je suis malinchista* ou je ne sais pas quoi d'autre. Peut être qu'ils auront beaucoup du mal à l'admettre, mais sur le fond, toute personne qui se dit libre et civilisée, devrait être Paris. Et "Je suis Paris" et je le suis parce que, s'ils comprenaient que Paris c'est une éternelle rencontre de cultures, de respect et d'échange, d'aperture et de dialogue, il verraient alors que cela a bien un sens. Paris ce n'est pas le bastion de riches et rances aristocrates mangeurs de baguettes qui achètent à prix d'or dans les boutiques des Champs Elysées qu'un bon nombre -dans leur ignorance- veulent croire, que, bien entendu, il y en a, certes, mais ce n'est pas que ça. Paris c'est une mosaïque de nationalités, confessions, idéologies et races, une ville pleine d'histoire, de joie, égalité, culture et liberté. Paris représente tout ce que les fanatiques de la charia haïssent, c'est une lumière que brille incandescente dans le monde occidental. "Je suis Paris", parce que je suis une femme et humaine, complètement libre, ce cette liberté que "ceux là"abhorrent autant, parce qu'ils n'ont pas attaqué une ville ni un pays, ils se sont attaqués a tout ce qu'elle représente. Voilà pourquoi  le monde fut autant secoué, mais je n'attend plus que ces nouveaux francophobes le comprennent.

Sí,"Yo soy París" y lo mismo que México, París me duele. Francia me duele y me duele porque es mi hogar, porque bien que mal, ésta tierra me ha acogido y yo la he adoptado, porque es la tierra de mi esposo, de mis hijos, de mis amigos y, aunque parezca increíble, del mismo modo en que amo México hoy también amo Francia con todos sus defectos y virtudes. Quizas más de alguno no lo entienda -ni tampoco espero que lo haga- porque tendría que haber vivido lejos su tierra para saber de lo que hablo, que se puede amar sin límites y que al aceptar la pluriculturalidad y la diferencia entonces se convierten en una gran riqueza y con ésto, mi corazón no se ha dividido, al contrario, más bien se ha ensanchado.

Oui, "Je suis Paris" et, comme je pleure le Mexique j'en pleure pour Paris. Je pleure la France et je la pleure parce que c'est mon chez moi, parce que, tant bien que mal, cette terre m'a accueilli et je l'aurai adoptée, parce que c'est la terre de mon mari, de mes enfants, mes amis et, même si cela peut paraître incroyable, au jour d'aujourd'hui je l'aime comme j'aime le Mexique, avec tous ses défauts et ses vertus. Il se peut que certains ne le comprennent pas -et je n'attend pas non plus qu'on me comprenne- car il leur faudrait avoir vécu ailleurs, loin de leur pays pour savoir de quoi je parle, qu'on peut aimer sans limites et qu'en en acceptant la multiculturalité et la différence elles se transforment alors en une énorme richesse et avec ça, mon cœur ne s'est pas déchiré en deux, mais au contraire, il est devenu bien plus large.

Si todos fueramos realmente París, si aceptaramos que al igual que ésta maravillosa ciudad podemos coexistir en la diferencia, con respeto y tolerancia, que podemos levantarnos y unirnos frente al horror y la adversidad, quizas no tendríamos que presenciar más escenas como la del viernes 13 por la noche o la del sábado, en Bamako ni en París, ni en Siria o Malí, ni en ningún otro lado... 

Si nous étions tous vraiment Paris, si nous acceptions que nous pouvons coexister en la différence, avec  respect et tolérance, que nous pouvons nous redresser et nous rassembler face à l'horreur et l'adversité comme le fait cette merveilleuse ville, peut être que nous n'aurions plus a assister à d'autres scènes comme celle du soir du vendredi 13, ni à Paris, ni en Syrie ou au Mali, ni nulle part ailleurs...




*"Malinchista", dans les grandes lignes et selon la tradition populaire, c'est une façon très péjorative de qualifier ceux qui méprisent leur racines, voir pire, qui les trahissent pour privilégier tout ce qui est ou vient de l'étranger, d'autant plus si c'est européen. L'adjectif, purement mexicain,  trouve ses origines en la "Malinche", une sorte de princesse aztèque -plus tard rebaptisée Doña Marina- qui serait devenue interprète, conseillère et maîtresse du conquistador Hernán Cortés. Celui-ci se sera juste servi d'elle, pour plus tard, la marier à un de ses sous-chefs après avoir accompli la conquête de l'empire aztèque, en partie grâce à elle. Bien évidemment, sa trahison reste à ce jour impardonnable et profondément ancré dans le subconscient collectif. Voilà donc un mot à connotation très, très négative souvent utilisé à tort et à travers lorsqu'on estime que quelqu'un n'est pas assez nationaliste "patriote" ou fier d'être mexicain. Si vous souhaitez avoir plus de précisions à propos de ce si complexe personnage, indissociable de la culture mexicaine, vous pouvez jeter un coup d’œil par ici .

lundi 2 novembre 2015

Noviembre / Novembre

El otoño siempre me llena de nostalgias y los festejos del día de muertos me traen un conjunto de imágenes, olores y sabores de manera muy particular. Y pinta el otoño francés con colores mexicanos. Por eso no he retomado éste espacio con el recuento de mis aventuras del verano en México -como era mi intención- porque el otoño me trae esa otra cara de México que es tan singular y que, dicho sea de paso, jamás me ha dejado ni dejará indiferente.

L'automne me rempli toujours de nostalgies et les activités de la fête des morts me ramènent un ensemble d'images, d'odeurs et saveurs d'un façon très particulier. C'est pourquoi je n'ai pas repris cet espace avec le résumé de mes aventures estivales au Mexique -telle était mon intention-, parce que l'automne m'évoque cet autre visage du Mexique si singulier et que, d'ailleurs, jamais ne m'a laissée ni laissera indifférente.

Sí, tengo tanto qué contar de ese verano en Guadalajara pero el tiempo me ha faltado para hacerlo antes de que las hojas de los árboles se volvieran rojas y amarillas, y luego empezaran a caer... y me llenaran de nostalgias de calaveras de azúcar y poemas de muerte. Y es que, cómo extraño recorrer los andadores del panteón con sus tumbas recién lavadas, llenas de flores y papel picado! Como también extraño ir al parque Morelos a la feria del cartón con su atmósfera de cola irrespirable, madera, diamantina y pintura de los juguetes tradicionales: máscaras y muñecas de papel maché que fijan sus ojos de la misma manera en que tal vez, hace cuarenta años,  miraron a abuelita, a mi mamá, ahora yo y seguramente, mañana a Miss Candy.
Feria del carton

Oui, j'ai tellement de choses à raconter à propos de cet été à Guadalajara mais le temps m'a énormément manqué pour le faire avant que les feuilles des arbres ne deviennent rouges et jaunes, et qu'ensuite elles commencèrent à tomber... et me remplirent de nostalgies de têtes de mort en sure de des poèmes de mort. Et, aussi bizarre que cela puise paraître à un français, ô combien il me manque parcourir les allées du cimetière avec ses tombes qui viennent tout juste d'être nettoyées, couvertes de fleurs et papier ajouré*! Autant qu'il me manque faire un tour au parc Morelos** à la foire du carton avec son atmosphère de colle irrespirable, bois, paillettes et peinture des jouets traditionnels: masques et poupées en papier mâché fixant leurs yeux de la même façon qu'elles ont regardé, peut être y il a plus de quarante ans, à ma grand mère, ma mère, moi même maintenant et certainement, Miss Candy demain.

Ah! Ese pasear entre calaveras y esqueletos de todo tipo y material, curiosos ataúdes, catrinas, títeres, milagros de latón y dulces típicos... Tal vez México sea el único país en que los niños juegan con calaveras y coman chile. Así, el día de muertos está inscrito en mi historia y mis genes, me cubre de cenpasúchiles y nardos, de papel de colores al viento y velas que se consumen en los altares. De rosa mexicano, de maíz, de barro y platos tradicionales.


Ah! Ces promenades entre têtes de mort et squelettes de tout genre et matériel, drôles de cercueils, catrinas , marionnettes, miracles de laiton*** et bombons typiques... Il se pourrait que le Mexique soit seul pays au monde où les enfants jouent avec des têtes de mort et mangent du piment. Ainsi, la fête des morts est inscrite dans mes gênes et mon histoire, me couvre d’œillets d'inde et tubéreuses, de papiers colorés au vent te bougies qui se consomment sur les autels. Du rose mexicain, du maïs, de terre cuite et plats traditionnels. 

"Ay, de mí, Llorona, Llorona..." Y una lágrima se me escapa antes de terminar el refrán. Noches claras de luna y cielos intensamente azúles con el sol quemándome la espalda mientras el viento me acaricia con sus dedos fríos... Esa Guadalajara otoñal de Mezquitán y Belén, de altares y leyendas, de mariachi, de Don Juan Tenorio, de pan de muerto, de naranja y azahar, de barro, ceniza y sal. De calaveras y diablitos... de poemas escritos a media tarde sentada sobre una tumba.




"Ay, de mí, Llorona, Llorona..." Et une larme m'échappe avant de finir le refrain de cette chanson populaire. Nuits claires de lune et cieux d'une bleuté intense avec le soleil qui me brûle le dos tandis que le vent me caresse de ses doigts froids... Cette Guadalajara automnale de Mezquitán et Belén -les cimetières les plus anciens et emblématiques de la ville-, d'autels et de légendes, de mariachi, de Don Juan Tenorio -pièce de théâtre s'associée aux festivités de cette époque-, de pain de mort -une sorte de brioche traditionnelle- d'orange et fleur d'oranger, de terre cuite, cendres et sel.  De têtes de morts et diablotins... de poèmes écrits l'après midi assisse sur une tombe. 

El sol que declina a una hora temprana mientras las luces se encienden y las velas iluminan en los altares los rostros fijos de los que ya se han ido pero que por una noche, como cada dos de noviembre, recordamos más intensamente mientras nos llega la hora de reunirnos definitivamente con ellos. 

Le soleil qui décline plus tôt alors que les lumières s'allument et les bougies éclairent dans les autels les visages de ceux qui nous ont quitté mais à qui on pense plus intensément, comme à chaque soir du deux novembre en attendant que notre heure arrive pour les rejoindre à tout jamais.

Ah, mi Guadalajara romántica y triste que como todo México, pretente reírse de la muerte a sabiendas de que nadie se le escapará!

Ah, ma Guadalajara romantique et triste qui, tout le Mexique, prétend se moquer de la mort sachant que personne ne lui échappera! 


No sé cuándo pueda volver a pasar un otoño en mi tierra, pero el día de muertos sigue presente en mi vida y en aquellos objetos que, tiernamente, me lo recuerdan. Cualquier lugar es bueno para hacer un altar y honrar la memoria de nuestros seres queridos que ya no están y cualquier lugar es bueno para transmitir esa parte de la increíble herencia cultural que llevamos tatuada tan profundamente en el corazón. Es así que para mí, el dos de noviembre, Francia siempre será México en la fiesta de la muerte para celebrar mejor la vida.

Je ne sais pas quand je pourrai passer un automne au pays à nouveau, mais la fête des morts et toujours présente dans ma vie et dans tous ces objets qui, avec tendresse, me la rappellent. Tout endroit est bon pour monter un petit autel et honorer la mémoire de ceux qui sont déjà partis et tout endroit est bon pour transmettre cette partie de l'incroyable héritage culturel que nous avons tatoué si profondément dans le cœur. C'est ainsi  que pour moi, le deux novembre, la France deviendra toujours le Mexique dans la fête de la mort pour mieux célébrer la vie.




Pd. Todavía estoy considerando intentar por cuarta vez hacer un pan de muerto con la esperanza de que no salga del horno, valga la redundancia, muerto -como los tres precedentes.

Ps. Je considère encore la possibilité d'entreprendre le quatrième essai de préparer un vrai pain de mort en espérant qu'il ne ressorte du four, sans vouloir tomber dans la redondance, ben, mort -comme les trois essais précédents. 


* Ou papier de soie piqué.  On en fait des guirlandes avec ces feuilles à motifs découpés façon dentelle pour décorer les grandes fêtes traditionnelles mexicaines.

** Le parc Morelos est un des parcs qu'on peut trouver dans le centre historique de Guadalajara et où chaque année s'installe cette foire traditionnelle. Malgré qu'il soit un devenu un lieu plutôt malfamé surtout la nuit, c'est le rendez-vous obligé pour se fournir et préparer la fête des morts et puis, noël. On y trouve vraiment tout et personnellement, je garde des très bons souvenirs.

*** Les "catrinas" sont des jolies femmes squelette au visage orné comme les têtes des mort en sucre. Le miracles de laiton sont des petits sortes de grigris en forme des diverses parties du corps voués à remercier Dieu, la sainte vierge ou les saints d'avoir accompli un miracle de guérison et qu'on accroche à leurs images dans les églises.