jeudi 20 décembre 2012

This is the end...

Se acerca el fin de esta locura colectiva, me refiero a la del fin del mundo porque la otra locura colectiva, la de las compras de última hora antes de Navidad todavía durará unos pocos días. Presiento un fin de semana extremo en donde serán los vendedores los que casi lamentarían seguir en vida si no esperaran recibir una buena comisión a fin de mes.

C’est bientôt la fin de cette folie collective, celle de la fin du monde je veux dire parce l’autre folie collective, celle des achats de dernière minute avant Noël en a encore pour quelques jours. Je pressens un week-end extrème où ce seront les malheureux vendeurs qui regretteraient presque de continuer en vie s’ils n’attendaient pas de recevoir une bonne prime à la fin du mois.



Sólo espero que luego no nos bombardearán con otros pseudo documentarios o peor, con una serie de horribles hechos de sangre con motivo de la no destrucción del mundo, porque sería muy lamentable. Sino, en cuanto a documentarios se refiere, quizas no sea tan mala idea si explican lo que hará toda esa gente que habrá almacenado toneladas de víveres – más que suficientes para alimentar a los  habitantes de una pequeña ciudad durante varios días después de algún un huracán, por ejemplo. O tal vez lo que podrán decir los felices dueños de bunkers y otros refugios comprados a precio de oro... O como a cuanto se eleva el contenido de las cuentas bancarias de aquellos que han aprovechado y especulado tanto y tan bien con el miedo del fin del mundo –eso si no lo han transferido todo a una cuenta en Suiza o en las Islas Caimán.

J’espère seulement qu’après nous ne serons pas bombardés par d’autres pseudo documentaires ou pire, par une série d’affreux faits divers suite à la non destruction du monde, car ce serait vraiment regrettable. Sinon, question documentaire, c’est peut être pas si mal s’ils expliquent qu’est-ce qu’ils vont faire tous ces gens qui auront stocké des tonnes de vivres -qui suffiraient largement  pour nourrir les habitants d’une petite ville pendant quelques jours après un ouragan, par exemple. Ou bien, ce que pourront dire les heureux propriétaires de bunkers et d’autres refuges achetés à prix d’or… Ou encore à combien s’élève le contenu des comptes bancaires de ceux qui ont si bien spéculé  et profité de la peur de la fin du monde –si jamais ils n’ont pas tout viré sur un compte en Suisse ou les Iles Caïman.

Casi siento pena por todos aquellos que invirtieron cantidades enomes para sobrevivir a un cataclismo que no sucederá. Y me pregunto, como para qué querer encontrarse solo en una tierra devastada,  poblada de zombies, aliens, mutantes u otros sobrevivientes desesperados o locos para seguir matándose unos y otros? Pienso que si es así, francamente prefiero entonces mejor morirme porque sobrevivir en semejantes condiciones, para mi, no es lo que llamaría vida.

J’ai presque de la peine pour tous ces gens qui auront investi des sommes énormes pour survivre à un cataclysme qui n’aura pas lieu. Et puis, je me demande pourquoi vouloir se retrouver seul dans une terre dévastée, peuplée de zombies, aliens, mutantes ou d’autres survivants fous et désespérés à continuer à s’entre-tuer ? Franchement, je me dis que si c’est comme ça, alors je préfère plutôt mourir car survivre dans des telles conditions, pour moi, ce n’est pas ce que j’appellerai une vie.   

Pero si con todo, el fin del mundo llegara a ocurrir, me gustaría saber a qué hora, para que me sorprenda atascándome con singular alegría de un delicioso pay de fresas bien transgénicas... Qué? Ya que nos va a cargar la tiznada que me coma algo biológico o un enorme Big Mac no tendrá la menor importancia ;) 

Mais si jamais la fin du monde arrive, j’aimerais bien savoir à quelle heure, pour qu’elle me surprenne en train de m’empiffrer avec joie d’une bonne tarte aux fraises bien transgéniques... Quoi ? Puisqu’on va tous y passer que je mange un truc bio ou un énorme Big Mac n’aura plus aucune importance ;)

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